DTP2I NEWS 24

On ne va pas se le cacher, il n’est pas toujours simple d’être « la femme du patron » ! Pourtant, Florence s’est vite intégrée lors de son arrivée chez DTP2i en 2009. Son métier d’assistante administrative, elle l’a appris « sur le tas, grâce à Karine Astruc qui a eu la patience de me former », plaisante-t-elle.

Ses missions vont du pointage des salariés à l’entretien du matériel, en passant par la saisie des rapports de chantier. Parmi les « gros » dossiers sur lesquels elle a planché, il y a eu l’écotaxe (qui a fait pschitt…) et actuellement, elle suit de près la taxation sur le Gazole Non-Routier.

Si vous demandez à cette passionnée de natation un souvenir pro de ces 15 dernières années, elle répond : « l’inauguration du 1er agrandissement ». « Il y avait beaucoup de monde, des institutionnels, des partenaires. Cette journée a marqué un tournant dans la vie de l’entreprise ». De DTP2i, il n’est d’ailleurs (quasi) jamais question à la maison. « C’est notre règle de conduite  ».

« Ouvrier dans la métallurgie, agent d’entretien dans un collège, paysagiste, militaire (au moment de la chute du Mur de Berlin que j’ai vécu en direct), conducteur d’engins agricoles… ». Florent a eu mille-et-un métiers avant d’arriver il y a 9 ans chez DTP2i. Alors sa ligne de conduite, vous l’imaginez bien, c’est l’adaptabilité. Et la ténacité aussi. Remarquez pour un adepte des treks à travers le monde, cela n’a rien d’étonnant !

Au quotidien, vous pouvez croiser Florent sur plusieurs chantiers d’aménagement urbain de DTP2i, au volant de son porte-engins. Un « beau bébé », comme il dit. « Un camion + moderne, + sûr, + souple aussi. Un outil de travail agréable et confortable pour travailler », reconnaît-il.

Un moment que cet accro de nature aime particulièrement chez DTP2i ? « La journée sécurité. D’abord, parce que c’est essentiel dans nos métiers des TP ; ensuite, parce qu’on se retrouve dans des endroits sympas pour partager toujours de bons moments ».

« C’est un concours de circonstances qui a mis mon CV entre les mains de Christophe Dépée en juillet 2005… et un vrai choix de ma part de ne pas repartir de DTP2i !, s’exclame Karine qui reconnaît beaucoup s’y plaire. Il me reste 7 années avant la retraite et je n’ai aucune appréhension car les 18 dernières sont passées ici tellement vite ».

Des contrats de travail au règlement des fournisseurs, en passant par les bulletins de salaire, les facturations des clients ou encore les déclarations de sous-traitance, tout l’administratif passe entre ses mains. « Vu mon ancienneté, j’ai vu le métier changer, c’est sûr ! En bien, puisque j’ai commencé avec une machine à écrire IBM mécanique et le télex. En moins bien également, puisque les procédures administratives se sont largement complexifiées ». Le mot de la fin de cette passionnée d’Égypte ancienne ? « Tout le monde rêve de travailler dans une boîte sympa et décontractée, d’avoir un patron si humain. Sa porte nous est toujours ouverte ».

Manuel a commencé dans les TP en 1989, avant d’arriver chez DTP2i il y a quatre ans maintenant, dans l’activité aménagement urbain. « Un boulot qui me plaît, en plus j’aime bien être dehors », souligne-t-il. Difficile, selon lui ? « Non pas vraiment. En plus, le métier a beaucoup évolué, les conditions de travail se sont améliorées. Par exemple, la sécurité, le port de charge. Je me souviens qu’à mes débuts, on posait à la main des bordures de trottoirs de 1,5m de long ».

Ce que Manuel apprécie également, c’est l’aspect social et convivial. « Les équipes changent, on se fait de nouvelles connaissances, on côtoie de nouvelles personnes ». Recevoir une médaille du travail n’est pas une première pour lui, il en a déjà obtenu deux dans ses précédentes entreprises. « C’est une bonne chose : la reconnaissance du travail accompli, des efforts de toute une carrière. De nos jours, c’est très important », conclut cet adepte de la chasse (comme son boss !) et du bricolage.

La vie d’une entreprise est faite d’arrivées de collaborateurs et de départs d’autres ! À l’heure où nous écrivons ce mini-portrait, Cyril a fait le choix, après deux années passées au sein de DTP2i, de s’envoler vers une autre aventure professionnelle. « J’ai candidaté pour un poste de maîtrise d’œuvre en assainissement sur le Vexin et l’agglomération de Cergy-Pontoise. J’ai accepté car cela correspondait à mes aspirations actuelles. J’étais arrivé au bout d’un cycle, j’avais envie de changement », explique-t-il. Un nouveau poste en totale cohérence avec l’attention qu’il porte aux respect de l’environnement et à la préservation de l’eau.

Christophe Dépée dit de lui qu’il est « un super professionnel, impliqué, quelqu’un de valeur ». Alors le fait de ne pas lui remettre sa médaille du travail parce qu’il quittait l’entreprise n’a jamais été un sujet ! DTP2i souhaite à Cyril une enthousiasmante continuation professionnelle.

Éric n’en est pas à sa première remise de médailles. Il a déjà obtenu la distinction des « 20 ans » dans sa précédente entreprise dans laquelle il est resté 26 ans. Eh oui, Éric, c’est un fidèle dans le travail ! Depuis 7 ans, il est conducteur d’engins chez DTP2i pour l’activité aménagement urbain. Ce qu’il aime, c’est le travail bien fait.

À trois ans de la retraite – « et 164 trimestres au compteur ! » – il porte un regard sur les TP qu’il a vus considérablement évoluer depuis qu’il a commencé à l’âge de 16 ans : « Le métier est beaucoup moins difficile, aidé par le matériel. Je me souviens des bordures de caniveau que l’on posait à la main, maintenant heureusement nous utilisons une pince. Au niveau des normes de sécurité, cela a beaucoup changé également au fil des années, et c’est tant mieux », souligne-t-il.

Quand il ne conduit pas sa mini-pelle, Éric partage son temps libre entre ses deux passions, la chasse et le jardinage (des tomates, beaucoup de tomates, il adore !).

Camion-grue, pelle-chenille, pelleteuse 8t, enrobeur-projeteur, saleuse… avec son permis super-lourd, aucun engin ne lui échappe. Pascal fait partie des « pionniers » de DTP2i que Christophe Dépée a débauchés lors de la création de l’entreprise. « J’ai connu différentes périodes, du rush des débuts au développement d’aujourd’hui, en passant par des moments plus difficiles, les deux crises économiques ». Son maître-mot, c’est la polyvalence. « J’aime toucher à tout. J’ai eu l’opportunité d’apprendre beaucoup de choses et d’acquérir de nouvelles compétences au fur et à mesure des années ». Lui qui retapait des voitures pendant sa jeunesse avec des copains, il s’est mis progressivement à la carrosserie des engins.

Dans deux ans, c’est la retraite ! Pascal pourra s’adonner à ses passions : les raids multisports (il participe bientôt à La Diagonale des Fous à la Réunion !), le bricolage (il aurait aimé être ébéniste…) et le vélo électrique (lui qui roule au BioGNV chez DTP2i) !