LE MOT DE CHRISTOPHE DÉPÉE,
DIRIGEANT DE DTP2i

« Innovation et apprentissage dans notre ADN ! »

« Je persiste et signe ! Les deux grands traits de caractère de notre entreprise sont l’innovation et l’apprentissage.

L’innovation, vous vous en rendrez compte une nouvelle fois en parcourant cette newsletter, c’est avoir développé notre enrobé projeté EP+, plus respectueux de l’environnement qui, à force d’efforts pour le faire connaître, convainc de plus en plus de clients. L’innovation, c’est également avoir pris le virage du GNV – et maintenant du BioGNV – pour notre flotte de véhicules afin de rendre encore plus « développement durable » cette solution de maintenance routière. Loin d’être anecdotique alors que j’écris cet édito le jour où les véhicules Crit’Air 4 sont interdits dans la Zone à Faibles Émissions de la Métropole du Grand Paris…

L’apprentissage, ceux qui me connaissent bien le savent, me tient à cœur. Alors quand la préfecture de Val-d’Oise a sollicité des entreprises de travaux publics pour intervenir dans le cadre du Mois de l’égalité des chances pour parler de ce sujet, il m’a paru légitime d’y participer. Car depuis 16 ans, DTP2i a formé pas moins de 25 apprentis du CAP au diplôme d’ingénieur (16 diplômés et 7 actuellement en formation) ! Alors c’est avec un immense plaisir que je me rendrai mercredi 9 juin en mairie de Persan, avec trois de mes jeunes collaborateurs (deux actuellement en alternance et un embauché en CDI à la suite de celle-ci), pour témoigner auprès de jeunes et partager l’expérience DTP2i ! »

RETOUR SUR

Chez DTP2i, on roule au BioGNV !

Le 29 avril, DTP2i a eu le plaisir d’accueillir sur son site de Marines la 2e étape du BioGNV Tour du Val-d’Oise. Un événement organisé par GrDF visant à promouvoir cette énergie verte, qui nous a permis de (re)présenter notre démarche mobilité propre devant des élus valdoisiens ainsi que notre technique innovante de rénovation routière, l’enrobé projeté EP+.

Puits canadien, récupérateur d’eaux de pluie, panneaux solaires… La prise en compte de l’environnement ne date pas d’hier chez DTP2i ! Avec une volonté affirmée : intégrer cette démarche « développement durable » dans le process économique pour préserver notre compétitivité.

1re étape : la mutation de notre flotte

« Il y a trois ans, nous avons engagé une réflexion pour l’une de nos activités, la réparation de chaussée, pour laquelle nous avons mis au point l’enrobé projeté EP+, une technique innovante et écoresponsable car elle permet de faire durer les itinéraires routiers plutôt que de les remplacer, explique Christophe Dépée, dirigeant de DTP2i. Nous nous sommes posé la question suivante : comment faire pour que cette activité soit encore plus « développement durable », dans un contexte d’intervention très urbain et soumis à une réglementation de plus en plus contrainte (Zone à Faibles Émissions de la Métropole du Grand Paris) ? ». La réponse : le Gaz Naturel pour Véhicules (GNV) ! Davantage adaptée que l’électrique ou l’hydrogène, cette énergie bénéficie en outre d’aides significatives par la Région Île-de-France : 9 000 € pour un poids lourd et 6 000 € pour un véhicule léger, ce n’est pas rien !

2e étape : l’avitaillement sur notre site

Avec l’accompagnement de GrDF, DTP2i a implanté également sur son site de Marines une station qui permet d’avitailler jusqu’à 9 véhicules en simultané (montant : 63 000 €). « Un choix nécessaire du fait de notre positionnement vexinois et de l’éloignement de la station publique la plus proche, située à Gennevilliers, poursuit Christophe Dépée. Cela permet également à nos collaborateurs d’éviter de longues files d’attente. Aussi, le fait de maîtriser notre approvisionnement nous a permis de négocier les tarifs et de pousser encore plus loin le curseur de notre démarche ». Eh oui, depuis quelques semaines, DTP2i roule… au BioGNV !

L’enrobé projeté EP+ convainc toujours plus de nouveaux clients

On oublie le début de saison marqué par les intempéries qui ont pénalisé des journées d’intervention. Le beau temps est arrivé, on se projette avec de bonnes nouvelles !

Bien sûr, il y a nos clients fidèles, ceux qui ont testé et approuvé notre enrobé projeté EP+ depuis plusieurs années… et qui reviennent pour des campagnes de maintenance routière. Et il y a les nouveaux qui font appel à nous pour la première fois !

 De Cergy-Pontoise à Versailles

« Depuis la reprise de l’activité en mars, on peut citer par exemple la Communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise (CACP), pour qui nous avons réalisé deux journées d’intervention et qui nous en a recommandé deux autres déjà en juin pour les voiries de ses zones d’activités économiques de Saint-Ouen-l’Aumône et Éragny », explique Antoine Dacheux, cadre commercial maintenance routière. Ou encore la ville de Versailles où DTP2i est intervenue pour la première fois le 31 mai dernier, sur des carrefours. « Le client est venu sur place voir comment nous procédions et en fonction de l’évolution des réparations, devrait nous repasser commande pour cet été ! Content également d’apprendre que nous pouvions lui apporter une solution technique et esthétique sur les voiries en enrobé rouge en utilisant des granulats différents pour un aspect plus « rougissant » des réparations », ajoute-t-il.

 Communiquer porte ses fruits

Nous en étions convaincus mais une fois encore, nous en avons la preuve ! Nous avons déjà des retombées à notre mailing papier (eh oui, papier pour nous différencier du flot numérique quotidien !) envoyé en mai à près de 3 500 contacts identifiés dans des collectivités locales. « Nous avons des demandes dans des secteurs géographiques où nous ne sommes pas encore implantés. Par exemple, des villes de Seine-et-Marne ou encore de l’Oise. Ce qui va nous permettre d’organiser des démonstrations in situ avec les élus de communes voisines pour faire connaître encore mieux notre solution d’enrobé projeté EP+ », conclut Antoine Dacheux.

Travaux de réparation routière EP+ à Cergy et Versailles

AMÉNAGEMENTS URBAIN

Nos chantiers récents en images

  • Berville (RD22)

Remplacement en mars dernier d’un ouvrage de passage d’eau qui capte la Soissonne, pour le Conseil départemental du Val-d’Oise. Montant : 70 000 € HT

  • Montgeroult (RD92)

C’était en avril : remplacement d’un bassin versant, pour le Conseil départemental du Val-d’Oise. Montant : 130 000 € HT

  • L’Isle-Adam

Remplacement d’un câble HTA pour Enedis. Un chantier terminé mi-mai. Montant : 57 000 € HT

  • Frouville (RD151)

Débutée en avril, la reprise d’une digue napoléonienne pour le Conseil départemental du Val-d’Oise. Montant : 110 000 € HT

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